1999
Médaille Offerte par la ville de
Sainte Geneviève Des Bois
Vous avez des questions? Nous avons les réponses...
Depuis 1995
l'Association Ka Maniok
a été à l’initiative :
Devoir
de Mémoire 2017
Devoir
de Mémoire 2016
10 mai 2016 Viry Chatillon
M. VILAIN Maire de Viry
Chatillon
M. Henry PRIMEON
président de KaManiok
Depuis plus de 20 ans l'Association Ka Maniok anime chaque
année son devoir de mémoire pour honorer, la mémoire des
femmes et des hommes qui, de 1635 à 1848, furent victimes de
l’esclavage colonial dans les colonies françaises. Cette
commémoration prend la forme d’un travail de mémoire sur
soit, en tant qu’individu. C’est à partir des valeurs et des
idéaux qui ont animé la vie de ses ancêtres qu’un groupe
élabore son unité et assure sa continuité.
L’histoire de l’esclavage colonial, est une page importante
de l’histoire de France, trop peu
connue et qui a duré 213 ans. Elle a concerné trois
continents, l’Europe, l’Afrique et les Amériques.
Elle a
consisté notamment, en la déportation d’un million de
captifs africains qui ont été mis en esclavage dans les
Antilles , la Guyane et à la Réunion.
Cette histoire a donné naissance à des sociétés nouvelles
antillaises : guyanaise et
réunionnaise.
Le 24 février 1848, la 2eme république est proclamée à Paris
. Elle prend d’emblée deux mesure fondamentales : le sufrage
universel masculin et l’abolition de l’esclavage.
En 1848, 150 000 esclaves sont affranchis. Une commission
chargée de préparer l’acte d’émancipation des esclaves est
mise en place.
Elle proposera dans sa session du 13 mars 1848, une méthode
pour la nomination de ces « nouveaux libres ». Ceux-ci
n’avaient jusque là, qu’un prénom avec parfois un surnom ou
un sobriquet et un numéro de matricule communale.
Ce mardi à Grigny, en cette
journée nationale d’hommage aux victimes de l’esclavage
colonial, plus d’une centaine de personnes étaient rassemblées
autour de cette colombe de la paix aux formes futuristes.
Sur le socle du monument, 213
noms de familles essonniennes descendant de victimes de la
traite négrière et de l’esclavage ont été gravés pour leur
offrir un lieu de recueillement.
Ces 213 noms représentent les
213 années d’esclavage subies par nos ancêtres. »
Quelques minutes plus tard, le
maire de Grigny, Philippe Rio (PCF), rappelle à son tour ces
deux siècles de souffrance. « 213 années de douleur, de larmes,
de sang mais aussi de résistance et d’une soif de vie
remarquable. »
Commémoration
& Mémoire des martyrs de l'esclavage
10 mai 2015 à
Sainte Géneviève des bois
M. Olivier LEONHARD
Maire de Sainte Geneviève Des Bois
M. Frédéric PETITTA
Maire Adjoint
Mme Michelle BOUCHON Adjoint
au Maire
C M C O M
Henry. PRIMEON
KAMANIOK
Les
colonnes de la liberté construite en 1998 sous l'impulsion
de Ka Maniok avait deux colonnes.
Elle fut
reconstruite en 2012 plus grand plus beau que l’original
avec 4 colonnes, une forme de renaissance.
Aujourd'hui
cette réalisation est une réalité unique en Ile de France
par sa taille. Elle est dédier aux devoir de
mémoire et à commémorations les
victimes de l’esclavage, mais et surtout pour mettre en
lumière des personnalités, des anonymes qui ont lutter
durant leur vie pour défendre le droit à être et naitre
libre.
SONDAGERetour
Aux Sources
Sans vouloir
prétendre à une obligation de culture historique universelle. Ka Maniok se propose d’organiser
avec vous un séjour d’une semaine au
Sénégal intitulé
« Retour aux sources ».
De nombreux Antillais ont
déjà fait ce premier pas, beaucoup d’autres souhaitent le
faire mais veulent être accompagnés « guidés » et c’est dans
cet esprit que Ka Maniok souhaite organiser
ce voyage au Sénégal
en Novembre 2013 et
visiter ce haut lieu de
mémoire qu’est l’île de Gorée.
Nous souhaitons donc
connaître votre avis sur l’intérêt de ce séjour « Retour
aux Sources », séjour où une part sera consacrée à la
mémoire, mais aussi à des activités plus ludiques
tourisme et découverte du Sénégal.
Pour adapter notre programme au plus prêt de vos
attentes
nous vous invitons à répondre à ce questionnaire
qui vous prendra 5 minutes :CLIQUER ICI=>
le Comité
Mémoire
&
Citoyenneté Outre Mer,
"
COLONNES DE LA LIBERTE"
Les Colonnes de la
liberté
revêtent à nos yeux
plusieurs significations
:
Un travail collectif qui
interroge sur les
raisons de l’esclavage,
à une époque où des
débats très vifs
entourent les
restitutions du passé.
Une réflexion sur les
dates de mémoire qui ne
peuvent s'opposer mais
bien se compléter :
Le 10 mai,
journée commémorative de
l'abolition de
l'esclavage en France
métropolitaine.
Le 23 mai la Journée dédiée
à la mémoire des
victimes de l’esclavage
colonial, en mémoire des
souffrances que subirent
les esclaves africains,
antillais, guyanais et
réunionnais.
La date du 10 mai peu
être légitime : car elle
renvoie, en réalité, à
la loi du 21 mai 2001
qui reconnaît
l’esclavage « crime
contre l’humanité ».
Mais en choisissant
cette date on honore
autant la République
que les victimes de
l'esclavage. Certes,
il convient d’honorer la
République.
MAIS IL EST PRIMORDIAL
DE RENDRE HOMMAGE
D’ABORD ET AVANT TOUT
AUX VICTIMES DE CET
ODIEUX CRIME QUI A
PERDURE PENDANT DES
SIECLE.
Lire la
Suite ...
COMMÉMORATION DE L’ESCLAVAGE : LE 23 MAI RECONNU OFFICIELLEMENT PAR
LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE !
Journée nationale des victimes de
l’esclavage colonial
Grâce à cette circulaire, qui inscrit le 23 mai au calendrier des
commémorations de l’esclavage en France, les grands absents du 10
mai, les Français descendants d’esclaves assisteront aux cérémonies
de l’abolition de l’esclavage. Serge ROMANA sera présent à la
cérémonie officielle organisée aux jardins du Luxembourg, aux côtés
de Patrick KARAM, délégué interministériel pour l’égalité des
chances des Français d’outre-mer, qui a contribué activement à
l’élaboration et à la signature de cette circulaire par le Premier
ministre.
Le CM98 se réjouit que la République reconnaisse la nécessité et le
besoin impérieux qu’éprouvent les Français originaires d’outre-mer
d’honorer le « passé douloureux de
leurs aïeux, qui ne doit pas être oublié ». Ce faisant, la
République accepte leur identité spécifique de Français descendants
d’esclaves et ouvre la voie à une citoyenneté apaisée des Antillais,
des Guyanais et des Réunionnais vivant en France hexagonale.
Cheikh
Anta Diop
En bousculant les idées reçues, l'historien provoqua en
son temps, au-delà même des milieux universitaires, de véritables
tempêtes. Depuis, il a suscité des milliers de disciples sans que les
polémiques se soient pour autant calmées.
Ces archives historiques ont pour seul objectif de rendre
la parole au chercheur et de lui permettre de dialoguer encore avec ceux
qui l'ont suivit ou interrogé.
LA JEUNESSE NOIRE DOIT S'ARMER DE CONNAISSANCE ET
ÊTRE EN MESURE D'ÉTUDIER SCIENTIFIQUEMENT SON PASSÉ DE MANIÈRE MINUTIEUSE ET
OBJECTIVE EN SE RÉSERVANT LA PRIORITÉ DE SON JUGEMENT. C'EST AINSI QUE L'ON
SE PROUVE QUE L'ON A RÉUSSI À DOMPTER SA CONSCIENCE D'ESCLAVE.
Il y a l'histoire des nations, et puis il y a l'histoire de l'humanité tout
entière, et c'est l'un des traits de notre monde moderne que d'avoir de
cette histoire de l'humanité une approche
globale.Lire la Suite=>
Allocution de M. Jacques CHIRAC,
Président de la République le 10 mai 2006,
à l'occasion de la première journée
commémorative en métropole du souvenir de l'esclavage et
de son abolition.
Je vous le dis ici et maintenant, mes amis : même si nous devons
affronter des difficultés aujourd’hui et demain, je fais pourtant un
rêve. C’est un rêve profondément ancré dans le rêve américain. Je
rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la
véritable réalité de son credo : "Nous tenons ces vérités pour
évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux."Je rêve que, un jour, sur les rouges collines de Géorgie, les fils
des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires
d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité.
2007
RENCONTRE AVEC
Monsieur
ALAIN ZABULON PREFET DELEGUE A L’EGALITE DES CHANCES
Ka Maniok a rencontré, Alain ZABULON, Préfet délégué à l’égalité
des chances de (l’Essonne), le 3 septembre 2007.
Monsieur le Préfet a souhaité rencontrer des présidents
d’Associations fortement impliquées en l’Essonne (FLECHE CREOLE,
OMS, CIFORDOM, KA MANIOK) pour avoir un échange informel, sur les
discriminations qu’endurent les originaires d’Outremer, en prévision
de sa réunion avec Monsieur Patrick KARAM, délégué
interministériel pour l’égalité des chances, Les «Ultramarins
de
France » bien qu’ils soient Français à par entière, savent que ces
discriminations raciales : à l’emploi, au logement, à la promotion
sociale, les touchent aux même titre que les autres minorités. Il y
a ici en France une véritable réticence à embaucher des noirs à des
postes de responsabilité. Les discriminations évoquées lors de cette
réunion :
L’emploi ,logement ,
l’éducation, Les services
bancaires :
à l'occasion de la
réception au ministère de l'Outre-mer.
Paris, le 13 juillet 2007
Je suis heureux d'être
parmi vous, ici, rue Oudinot, dans la maison de tous les
Français d'outre-mer. Je suis là car je souhaitais m'adresser à
vous rapidement après mon élection à la Présidence de la
République.
Je veux parler à tous les
Français d'outre-mer, qu'ils vivent dans leurs territoires
d'origine ou en métropole. Ces trois millions et demi de
Français « à part entière » et trop longtemps restés «
entièrement à part »··· Je veux vous le dire aujourd'hui :
je serai le Président de tous les Français. Il n'y a pas, pour
moi, un « peuple d'outre-mer » et un « peuple de l'hexagone »,
pas plus qu'il n'y a un « peuple de droite » et un « peuple de
gauche ». A mes yeux, il n'y a que le peuple de France.
Il
aura fallu 200 ans pour que l’homme regarde enfin son histoire en
face. Chaque chose a son temps.
Du temps de la colonisation, on
apprenait aux noirs que leurs ancêtres étaient des gaulois. Il faut
effacer cette histoire qui est fausse. Pendant que les anciens historiens
écrivaient l’histoire des africains, l’Africain, lui, transmettait
son histoire et sa tradition par voix orale. C’est pour cela qu’il y
a un proverbe en Afrique qui dit « lorsqu’un vieillard meurt, c’est
une bibliothèque qui brûle ». Heureusement, Joseph N’diaye nous
transmet l’histoire de la traite des noirs qui fut le plus grand
génocide que l’humanité ait jamais connu par un beau livre
intitulé : Il fut un jour à Gorée, l'esclavage raconté à
nos enfants par Joseph N'Diaye, préfacé par Koïchiro Matsuura,
directeur général de l'Unesco, illustrations de Serge Diantantu,
éditions Michel Lafont.
Joseph N'diaye &
Henry Priméon
lors de la cérémonie du 10 mai
2006 présidé par Monsieur Jacques CHIRAC
Président de la République
Aimé Césaire : la disparition d’un symbole de l’humanité
L’ensemble des membres de l’association
Ka Maniok sont attristés du décès de ce grand homme
de la littérature française et adresse ses sincères
condoléances à la famille et aux proches du poète.
L’homme politique, normalien et poète s’est éteint hier
matin à Fort-de-France, à l’âge de 94 ans. Selon des sources
de la mairie de Fort-de-France, une veillée strictement
privée sera organisée au domicile du défunt ainsi qu’une
veillée publique, par la Mairie de la commune.
L’association Ka Maniok rend donc hommage à cet homme
debout, nègre et fier, et vous propose de remplir
ce formulaire afin d’y apposer
vos messages de sympathie et toutes vos réactions.
Cyrille BISSETTE
Cyrille Charles Auguste BissetteCyrille Bissette est le
martiniquais qui a le plus combattu l'esclavage et ses effets néfastes
au 19è siècle, au lieu de la vengeance, il prôna la réconciliation entre
les races. Cette grande figure de nôtre histoire est l'objet depuis plus
d'un siècle d'une véritable injustice. Aujourd'hui aucune rue, aucune
place en Martinique ne rend hommage à Cyrille Bissette. Son histoire est
traitée dans très peu d'ouvrage et beaucoup de martiniquais ignorent son
existence. Victime de l'édification du schoelchérisme de la part d'une
bourgeoisie intellectuelle assimilationniste Cyrille Bissette a été
injustement banni de l'histoire de notre pays en raison de son alliance
avec le béké Auguste Pécoul, que les mulâtres à l'époque qualifiaient de
trahison.Lire la Suite=>
Les
archives surl’esclavage
ne seront pas vendues aux particuliers
français
.Des associations craignaient le pire pour les enchères
de mercredi 12 janvier à LyonLire la Suite=>
Le chevalier
de Saint Georges
De son vrai nom Jacques Boulogne
ou Boulongne, Monsieur de saint George fut une star
incontestable du Paris musical de la seconde moitié du 18ème
siècle. Né le 25 décembre 1739 (le 25 décembre comme l'enfant
prodige), le "Mozart Noir"...Lire la Suite=>
Mémoire Oublier
La
commémoration des décrets du 27 avril 1848 a fait l'objet de
nombreux articles de presse mais cet événement a été cependant
moins commémoré que le baptême de Clovis. Surtout, la nature de
cette commémoration est essentiellement oublieuse. Il est facile
de montrer que ce que l'on appelle abusivement la "mémoire de
l'esclavage" se définit avant tout par une somme d'oublis:
Lire la Suite=>
158
ans seulement nous séparent de la période abjecte où l'esclavage sévissait en toute légitime,
réduisant des hommes et des femmes aux plus basses conditions.
Leur seul tort étant d'être noir.
Leur servitude forcée, était une situation pénible à l'extrême, une longue
et intolérable douleur ils subirent des humiliations et les traitements les plus
inhumains.
Finalement c’est au terme d’une prise de conscience et de
bouleversements radicaux que l’esclavage fut abolit
en 1848.
Mais un simple bout de papier peut-il mettre fin à tant d’année de souffrance Peut-on et doit-on oublier comme un mauvais souvenir que le temps efface c'est avec cette dernière conviction qu’en 1995 qu’une ébauche de
commémoration fut esquissée lors de la plantation de l’arbre de la liberté et de la réconciliation par l’association KA MANIOK en partenariat avec la Municipalité
de Sainte Geneviève des bois.
Ouverture, Échange, Créativité : C’est tout le sens que nous donnerons à ces journées de commémoration.
Le thème difficile de l’esclavage, sera abordé sans complaisance, avec dignité, force et dynamisme.
Notre objectif Informer, ouvrir des portes sur le présent et l’avenir , offrir des temps forts d’émotion,
de respect et d’admiration pour nosMaquisards
"les Nègres Mawons".
Nous "Afro-caribéens" avons un devoir de mémoire auprès de nos enfants ils doivent savoir, connaître leur passé pour mieux appréhender leur avenir.<
Honneur & Respect
Honneur & Respect
Mai 2006
23 mai 2006
Le 23 mai
2006 a tenu toutes ses promesses. Plusieurs centaines de personnes ont
participé dans la dignité aux différentes manifestations de
commémoration du souvenir de nos grands-parents dans pas moins de huit
villes d’Ile-de-Frances
Emmanuel Gordiencm98:
Notre communauté a parfaitement perçu le
caractère sacré de cette cérémonie qui parle directement à son cœur. Ce
ne sont plus « les esclaves », mais « nos parents » que nous honorons.
Dès lors il convient enfin que toute la République reconnaisse aussi «
ces parents ». En ce sens le 23 mai 2006 a été une étape supplémentaire
vers cette reconnaissance, car des maires de plusieurs villes d’Ile de
France ont aussi compris le message et nous ont accompagnés dans la
réalisation de manifestations républicaines du souvenir
.
"
Mai 2005
Lundi 23 mai parvis des droits
de l'homme TROCADEO
Madame Maryse CONDÉ
Présidente du Comité pour la mémoire de
l'esclavage
Madame la Présidente,
Suite à la Grande Marche silencieuse du 23 mai 1998 qui avait
mobilisé à Paris 40.000 ressortissants des Antilles, de la Guyane et
de la Réunion et suite à l’action de la député de Guyane, Madame
Christiane Taubira, la République française a reconnu que
l’esclavage des Nègres dans les colonies françaises était un crime
contre l’humanité - loi du 21 mai 2001. C’est dans ce cadre que le
Comité pour la mémoire de l’esclavage que vous présidez a été
institué avec, pour mission
.....
M.Serge Romana est
Président du Comité de la marche du 23 mai, qui voudrait
voir cette date commémorer ce crime contre l’humanité.
Vous avez organisé, lundi 23 mai, une nouvelle marche pour
la sortie de l’esclavage, au Trocadéro, qui a réuni,
dites-vous, plus de 10 000 personnes. Comment expliquez-vous
cette mobilisation ?
Serge Romana. C’est le résultat d’un travail de
terrain important, avec soixante et une associations, depuis
plusieurs années, renforcé, cette année, par le problème
politique posé par le choix de la date de commémoration (...)
Lire la Suite=>
Mai Grigny
Lanmèkannfènèg
²
Le Père l’Absents ou l’amant »
Dans
l'enfer esclavagiste, des familles se sont tout de même construites. La
plupart du temps, elles se limitaient à une mère et à ses enfants,
souvent de géniteurs différents. En ce temps-là, il était difficile
d'être père, l'article 12 du code noir l'interdisait et il était rare de
se marier, les articles 11 et 12 n'y étaient pas vraiment favorables. Du
système esclavagiste, a surgi l'organisation familiale la plus naturelle
qui soit : la famille maternelle ou matrifocale, structurée autour d'une
mère ou d'une grand-mère, femmes vaillantes dotées d'une force à
surmonter de grandes souffrances : la trahison et l'abandon du conjoint,
sa violence, l'absence de père pour ses enfants, etc. Au cours des 6
stations de ce “chemin de fer”, nous analyserons cette structuration
matrifocale de nos familles et tenterons de trouver ensemble des
solutions à ces importants dysfonctionnements.
STATION 1 : Le couple :
paroles de femmes
STATION 2 : Le couple : paroles d'hommes
STATION 3 : Le père antillais : l'exclu
ou l'absent
STATION 4 : La mère antillaise :
force et faiblesse du “potomitan”
STATION 5 : L'éducation
d'hier et d'aujourd'hui
STATION 6 : Le devenir de la
matrifocalité En
partenariat avec le Comité de Marche 98