Dernière Mise à Jour   | 
		         
			    
			                    
			          
			          
									
						  
							   		
							   		  | 
							 
	
		
		   | 
	 
  
		
			
				  | 
		 
			 
				    | 
				        
				           | 
			  
		
			 | 
				    
				    
					
			  		
			
			
			  
			
			
			  
			
			  
			
			 
			
			
			 
				
			 
			
			 
			
			 
			
			 
			
		  | 
	 
		
			| 
				 
				   | 
		 
 
		
				
				  | 
		 
			  
					| 
						 
						   | 
			   
		
			| 
				 
				    
				   	
			
			 
			
			
			 
			
		                                    
		
            
			 
						
			 
			
			  
		          
	             
	         
			
			   | 
               
    	 
		
				| 
				 
					   | 
		 
		
				
					  | 
		 
	
		| 
			 
			   | 
	 
		| 
			 
			
			  
			
			 
			
			  
		
			 
			
			 
			
			 
			
			 
			
			 
			
			   | 
		 
	
		| 
			 
			   | 
	 
		
			   | 
	 
	
	
		  | 
			   
			     | 
	 
		
			| 
				 
				
				 
	             
		         
				
				  
					     
           		  
				
				 
			
			
			  | 
	      
	
		
			
			   | 
			 
			
				
				   | 
			 
				
				| 
				
	 | 
 
| 
 | 
 
  | 
 | 
 
| 
 
   | 
 
  
 | 
 
   | 
 
|   | 
     
    
	
	
	
		| 
		
 
  
	Costumes Créoles 
	Mode et Vêtements Traditionnels des Antilles Françaises 
			
												  
	
	Tout de coquetterie, de grâce, 
          d'élégance et d'indolence, la femme Antillaise apparaît dans toute sa 
          splendeur.  
	 
		| 
		
	   
    
	
   	
			
			
			
			La Grande Robe, 
			
			 
			toujours réalisée dans un tissu 
			coloré où brillant, elle était portée avec un jupon et 
			une cape de la même teinte. 
			
			La Douillette 
			
			
			Robe 
			de tous les jours, elle était constituée d'un 
			jupon, d'une robe serrée à la taille en 
			cotonnade fleurie, à carreaux ou à rayures. 
			  
			
			
			La Titane,
			 
			vêtement porté 
			par les courtisanes de l'époque. Provocantes, 
			elles n'hésitaient pas à porter une chemise 
			en dentelle largement échancrée sur
			la poitrine et découvrant leurs épaules. 
			  
			
			
			La Cotonnade,
			
			
			en madras 
			calandé, elle pouvait être en velours ou en 
			satin les jours de fête. 
		
   
	
 	 | 
		
		
	
	DODYSHOP,
	boutique en ligne de
	tenues 
	
	 créoles 
	vous propose une large gamme de robes 
	créoles et vêtements madras, 
	coton ou broderie créole pour 
	fille. 
	   
	  
	  
	  
	  
	Consultez le 
	catalogue en ligne de notre boutique 
	antillaise et choisissez votre modèle
	créole préféré ! 
	 
	MARIAGE 
	
	Ambiance de luxe et d'élégance sur un fond de 
	traditions créoles pour les robes de 
	mariage signées DODY. C'est le
	style antillais, la qualité, la 
	créativité. C'est le raffinement d'un détail. Le choix d'une matière. Quand 
	c'est aussi beau, c'est le mariage de la 
	broderie anglaise au coton, le 
	caresse de l'organza et la vivacité 
	du madras ...  |   |    |   
  
  
  	  
	
		
			| 
			 
			
			
												  
			
			Vous 
			souhaitez un costume traditionnel, pour un mariage, 
			un cortège, pour vous déguiser à l'occasion d'une fête 
			costumée, d'une soirée à thème, d'un anniversaire  etc...
			 
			
			nous pouvons le réaliser
			pour vous, envoyés nous un courriel à:costumes@kamaniok.com
			  | 
		 
	 
	  
	
	
	  
	  
	  
												 
     	 | 
  | 
 
| 
 
   | 
 
   | 
 
   | 
 
 
| 
 | 
 
  | 
 | 
 
| 
 
   | 
 
  
 | 
 
   | 
 
|   | 
     
	  
  
	
	
	  
	
		
			
				
            | 
				
            | 
				
            | 
				
            | 
				
      
            | 
				  | 
			 
			
				| 
           
			
			
			
			La coiffe 
			
			a toujours été l‘accessoire indispensable du costume créole.  
			  
			
      
		 
		 Elle reflétait soit la situation 
			sociale, soit les circonstances de la vie. La coiffe traditionnelle 
			de madras est née d’une frustration. En effet des lois interdisaient 
			aux affranchies de porter des chapeaux, ceux-ci étant réservés aux 
			femmes blanches.  
			
			
			
			A une époque où se couvrir la tête 
			était une marque de bienséance, les femmes créoles n’avaient pas le 
			choix, elles devaient porter le foulard, ce qu’elles ressentaient 
			comme une humiliation. 
			
			Les chapeaux étaient interdits aux 
			affranchies 
			
			
			
			C’est ainsi qu’elles inventèrent la 
			coiffe de madras qui allait devenir la coiffe traditionnelle. C’est 
			un carré de tissu à carreaux, aux couleurs vives, drapé autour de la 
			tête. Il faut différencier la "têt 
			attachée" de la "tête serrée"( 
			calendé ou casserole, ces dernières ne se défont pas,
			elles sont 
			portées comme un chapeau. Autrefois la façon de nouer la « têt » en 
			faisant apparaître différentes pointes ou nœuds était chargée de 
			significations galantes.  
			
			
			
			La coiffe est toujours portée par nos 
			aînées, elle symbolise les circonstances de la vie, et de la richesse personnelles
			!  
			Par la suite la coiffe devint un symbole, un langage, une fonction, un 
			signal, grâce à leur façon de la nouer
			. 
			
			
			Cette symbolique du langage de la coiffe a perduré 
			jusqu’à nos jours , selon le nombre de pointes,
			l'on sait si la femme 
			qui la porte est mariée, célibataire , amoureuse, ou si elle veut 
			être provocante. 
			
			
			
			Les hommes étaient capables de 
			déchiffrer immédiatement les messages codés des femmes par le nombre 
			de pointes élevées sur la coiffe. 
			
      Il existe d'autres coiffes, comme celle de la
		"Matadore," 
			femme entretenue de Martinique, qui se parait de bijoux offerts 
			par leur homme.  
			
      	 
			
      
		
		
		
		La 
			tête de la "Matadore du Sud"  a un éventail 
			devant et derrière la coiffe.   
			 
       
			
      
		
		
		
		La 
			tête de la "Matadore de St Pierre" est 
			composée d'un petit triangle devant  et d'une queue plissée 
			derrière.  
			 
       
			
      
		
		
		
		La 
			tête "Chaudière" est 
			de forme arrondie toute plissée à plat.  
			  
			
			
			
			
			
			La tête 
			"calandée" est 
			confectionnée à partir d'un madras sur lequel les parties claires du 
			tissu ont été peintes avec un jaune de chrome en poudre additionné 
			de gomme arabique. Cette technique venue des Indiens donnait de 
			l'éclat au madras, elle se pratiquait autrefois non pas avec des 
			pinceaux, mais des plumes de poule. Les tenues traditionnelles sont 
			portées avec une multitude de bijoux en or, les colliers se 
			superposent et même les coiffes en sont parées. 
				 | 
			 
			
				
            | 
				
          	  | 
				
          	  | 
				
            | 
				
      
            | 
				 
           | 
			 
			
				| 
           
			
			
			 La façon dont est nouée la coiffe à 
			pointes ou à bouts, carrés de madras attaché autour de la tête, 
			révèle aussi la disponibilité sentimentale de l'Antillaise.  
  
			
			
			Une pointe : 
			cœur à prendre 
			Deux pointes : déjà conquise 
			Trois pointes : mariée 
			Quatre pointes : mariée, mais 
			vous pouvez tenter votre chance.
			  | 
			 
			
				| 
           
			  
			
				| 
			 
			La 
			coiffe  
			Accessoire indispensable du costume créole, 
			
			la coiffe reflète 
			tantôt la situation sociale tantôt la situation matrimoniale de la 
			femme. 
			
			  
			  
			Appelé aussi têtes, elles sont faites à partir d’un carré de 
			tissu madras* bien amidonné que l’on pose sur la tête en diagonale. 
			Attaché solidement à l’arrière, on croise les deux bouts et on les 
			fait revenir en avant . 
			
			 
			  
			On redresse, noue les pointes en les 
			épinglant. Au commencement des lois interdisaient aux 
			
			affranchies de 
			porter des chapeaux. Le port du foulard étant ressenti comme une 
			humiliation, les femmes créoles adoptèrent la coiffe de madras, 
			carré de tissu noué autour des cheveux. 
			
			 
			Au fil du temps, la coiffe 
			s’est créé son propre langage en fonction du nombre de pointes, on 
			sait si la femme qui la porte est mariée, célibataire, amoureuse ou 
			provocante. 
			
			 
			 
			 
			  
			  
			La manière de porter sa coiffe 
			varie selon l'âge et les circonstances: 
  
			Les fillettes , en général, portaient 
			un foulard de soie, de teinte vive, tendu sur le front et relevé 
			derrière la tête pour mettre à découvert leurs cheveux nattés et 
			roulés avec soin. 
  
			Vers 18 ans, la jeune fille "prend 
			tête", comme on dit en créole. Autrement dit, elle échange le 
			foulard contre le madras. 
			 
			
			
			 En période de deuil, au lieu du madras, les intéressés adoptent un 
			mouchoir blanc; aussi choisi par les femmes âgées qui ont dit adieu 
			aux joies et illusions de la vie... 
			  
			Les coiffes spécifiquement guadeloupéennes : 
			 
			- 
			tête 
			casserole  - tête créole 
			- tête plombière 
			 
			Les bijoux sont un
			indispensable complément du costume. 
			 
			Aujourd’hui le costume créole est 
			démocratisé on le porte lors des 
			grands évènements ( mariage, baptêmes ..) et lors des fêtes 
			traditionnelles ( Lewoz ). Mais il a su aussi se moderniser 
			  | 
			 
			 
				 | 
			 
		 
	 
  
	  
      
		
			
				| 
				 
      
				
		 De fil en aiguille 
				
				Exposition sur 
			le costume créole de 1700 à 1950  
				  | 
			 
			
				| 
				 
				  
				
				
				  
				
				La Gazette du costume créole se 
				lit et s’ouvre comme une malle oubliée depuis des siècles 
				 | 
				
				 
      			 
				
				Le Madras,  
				
				
				  
				 
				 
				
				A partir duquel 
				étaient fabriqués les costumes créoles, est aujourd’hui utilisé 
				pour réaliser de nombreux vêtements (robes, chemises, paréos...) 
				 
				 
				 
				 
				
				 
				 Un souvenir "prêt-à-porter" ! 
				
				 
				 
				
				Le 
				madras est le tissu traditionnel des Antilles. Il a été apporté 
				par les premiers travailleurs indiens avant de devenir l'élément 
				essentiel du costume traditionnel antillais. Il tire son nom de 
				la ville du même nom, en Inde. Il est fait de coton, avec des 
				fils de couleurs aussi éclatants que variés qui forment des 
				carreaux et des rayures.  
				  
      
		
				
		  
				 
				 
				
				
				Aujourd'hui, 
				le madras trouve sa place dans la mode actuelle. Il est utilisé 
				pour la confection de prêt-à-porter, de sac 
				à main, de paréos et 
				autres accessoires de mode. 
				 
				 
				 
				
				
				On l'utilise aussi très souvent pour 
				décorer la maison, en confectionnant, 
				par exemple,   
      
				
				des nappes et des 
				rideaux. 
				 
				  
				 
				 
				
				
				Ce nom vient de l’ancienne ville 
				de Madras, en Inde (Madras, ancienne dénomination de la ville 
				indienne de Ch ennai). Elle était donc fabriquée pendant la 
				colonie britannique, qui y a importé ces motifs inspirés des 
				tartans écossais. 
				   
       
				  
      C'est un tissu de coton aux fils 
				de couleurs vives formant des carreaux ou des rayures, utilisé 
				traditionnellement aux Antilles. 
				   
       
				
				
				En Guadeloupe 
				comme en Martinique, le costume 
				traditionnel féminin est un véritable langage et une indication 
				sur la vie sentimentale 
				
				
				 de la femme Antillaise tout en mettant 
				en relief sa beauté (coiffe madras, bijoux créoles, tenue 
				antillaise).  
				
				 
				
				 
				
				
				Le port du chapeau étant 
				interdit au temps de l'esclavage, les Antillaises ont adopté la 
				coiffe créole en madras comme signe distinctif de beauté. 
				 
				 
   | 
			 
			
				| 
				 
      
				  
				
				GRAVURE du 19 ° siècle  
				sur papier fin d'époque vers 1835  
				COSTUME CREOLE en 1835  
				ANTILLES FRANCAISE  
				18 cm x 26 cm  | 
			 
			
				
				
					
						
      
						  | 
					 
					
						|  
						 | 
					 
					
						| 
						 
						   | 
					 
					
						| 
						   
      
         | 
					 
					
						| 
						 
						  
						
						  
      
						
						
						Collier forçat  | 
					 
					
						| 
						 
						  
						  
      
						
						
						
						Collier-choux 
   | 
					 
					
						| 
						 
						  
						
						Pomme 
						canelle  | 
					 
					
						
						  | 
					 
					
						| 
						 
						    | 
					 
					
						| 
						 
						   | 
					 
					
						|   
         
      
						   | 
					 
					
						| 
						 
						   | 
					 
					
						| 
						 
						   | 
					 
					
						| 
						   
      
						   | 
					 
				 
				 | 
				  
       
      
        
      Le bijou créole 
				
				est plus que tous les autres artisanats 
				intimement liés aux aspirations d’une grande partie de la société 
				locale.  
				Il a été pour les esclaves le symbole de leur ascension sociale 
				dans un système qui ne les favorisait pas et le seul luxe des 
				populations campagnardes qui ne pouvaient investir dans la 
				terre.  
				Ce sont les esclaves domestiques, nourrices (la da), chambrières 
				ou favorites du maître qui arborent les plus anciennes parures 
				d’or qui remplacent peu à peu la verroterie du 17ème siècle.  
				
		
		  
				La coutume voulait que les enfants des familles riches 
				remercient la « da » qui les avait élevés en lui offrant à chaque 
				anniversaire ou étrenne un ou plusieurs grains d’or ouvragés.
				 
				
				
				
				Montés en longs colliers, ils témoignaient de ses bons et loyaux 
				services.  
				Les artisans bijoutiers créoles se sont inspirés de deux sources 
				d’influence pour leurs modèles : les différents styles français 
				et les traditions africaines du travail, des métaux.  
				
		
				
				 
				Ils portent des noms très symboliques inspirés de l’histoire, de 
				la faune et de la flore locale : pomme cannelle, "tété" 
				négresse, chaîne forçat, collier grain d’or, broche "nid de 
				guêpes", collier chou, etc. 
				  
				
				
				
				Les colliers  
				De formes variées, les colliers constituaient l'élément 
				principal de la parure ; pouvant atteindre parfois 7 mètres, ils 
				couvraient pratiquement le cou. 
				Certains, comme d'autres bijoux, ont traversé les siècles et 
				sont fabriqués par nos bijoutiers dans des proportions plus 
				modestes. On distingue ainsi 
				 
				
				
				Le forçat : 
				ce collier est composé de paires de mailles ovales, creuses et 
				emboîtées chaque paire étant composée d'une maille lisse et 
				d'une maille striée. 
				Il peut être porté en ras-de-cou, en collier ou en sautoir 
				(forme la plus courante anciennement), rappellant symboliquement 
				la chaîne de l'esclave. Il était offert en gage d'attachement à 
				la femme aimée. Les mailles de ce collier peuvent être de 
				dimension variée. 
				  
      
				  
				
				
				Le Collier-choux : 
				
				est formé d'une succession de boules d'or enfiléé sur une chainette. Chaque boule est composée de deux demi-sphères 
				striées de même diamètre et soudée l'une à l'autre. 
				Anciennement, ce collier accompagnait plus particulièrement la 
				tenue jupe-chemise et pouvait faire trois à quatre fois le tour 
				du cou. Les boules creuses et légères donnent à ce bijou la 
				fragilité d'une coquille. 
				 
				
				
				Le Collier grain d'or 
				
				: Enfilade de boules d'or lisses et rondes, creuses ou pleines, 
				ce bijou rappelle par son apparence le collier de perles. 
				Celles-ci étant interdites aux gens de couleur, on pense que les 
				artisans bijoutiers ont inventé un bijou les imitant. 
				Autrefois, on le portait en plusieurs rangs autour du cou. Il 
				existe actuellement des variantes qui sont plus ou moins 
				récentes : le ras-de-cou aux grains de grosseurs dégradée, le 
				sautoir aux grains espacés, et toute une variété aux grains de 
				différentes grosseur ou alternée avec des perles, des grenats, 
				des grains choux... 
				 
				
				
				Le collier «Gros-sirop» 
				est une succession de deux doubles mailles soudées, emboîtées 
				les unes dans les autres ; utilisé plutôt en sautoir, avec 
				cassolettes, il accompagnait la grande robe de cérémonie. 
				 
				
				
				La «Marchande de sirop» 
				
				: est un collier plus rare qui accompagnait aussi la robe de 
				cérémonie. Il est composé d'une suite de deux petites bagues 
				plates striées et emboîtées : l'une est posée à la verticale, 
				l'autre à l'horizontale. 
				 
				
				
				Le collier gourmette ou à mailles plates 
				
				: comprend des mailles creuses soudées les unes aux autres avec 
				alternance d'une maille biseautée et d'une maille lisse. 
				 
				
				
				La chaîne torsadée : 
				est formée de fil d'or noué en torsade rappellant une corde : 
				elle est très courante en Afrique du Nord. Elle est le plus 
				souvent portée en sautoir ou en ras-de-cou. 
				Il existe une nouvelle variante plus récente ; la torsade 
				dégradée portée en ras-de-cou. 
				  
			  
				
				
				Le collier à mailles concombre. 
				Ce sont des mailles ovales avec un entrelacement de filigranes à 
				l'intérieur, monté de façon espacée sur une chaîne à petites 
				mailles rondes. 
				 
				
				
				Les colliers «corail» et grenat 
				
				: utilisent l'un, des pierres (grenats taillés à facettes) 
				venant du Vénézuéla ou de Tchécoslovaquie, l'autre des coraux 
				taillés en baguettes ou en perles, enfilées sur une chaîne d'or 
				ou un fil de coton pour les moins aisés. 
				Le corail et plus tard l'ambre, étaient portés pour leur vertu 
				thérapeutique (bonne circulation sanguine, régulation de la 
				tension...). 
				 
				
				
				Les barillets et les cassolettes. 
				Élément primordial du collier, le barillet sert en général de 
				fermoir : richement ouvragé et de différente grosseur, il se 
				porte le plus souvent à l'avant du collier. On distingue trois 
				types de barillets - le barillet octogonal à facettes lisses ou 
				à motif. 
				- le barillet en forme de noix le plus souvent à rainures 
				incrustées. 
				- le barillet ouvragé à fleurs et à pierres incrustées. 
				Les cassolettes, d'origine d'Afrique du Nord, sont des 
				médaillons richement ouvragés, agrémentés de pampilles ; elles 
				sont plus particulièrement portées avec la longue chaîne 
				torsadée ou gros sirop, accompagnant la grande
				robe de cérémonie. 
				
				
				
				 
				
				
				
				Les bracelets 
				Ils sont le plus souvent assortis aux colliers sauf 
				- le bracelet grain d'or : formé de plusieurs rangs de 
				demi-sphères de grains d'or reliées entre elles par une 
				chaînette.  
				- le jonc rond : qui est un grand anneau d'or creux, s'ouvrant à 
				demi par un mécanisme permettant de l'enfiler : les deux moitiés 
				du bracelet étant liées pour la sécurité par une chaînette. 
				- le jonc plat : présente les mêmes caractéristiques. Il est 
				beaucoup plus large et porte parfois des motifs ou une chenille 
				sur sa face externe. 
				- le bracelet esclave est la réplique en or de l'original. Son 
				fermoir porte un petit bout de chaîne rappellant les mailles de 
				la chaîne d'esclave. 
				 
				Les bijoux de «la tête» 
				On compte les épingles en or, les barrettes et l'épingle 
				tremblante 
				- les épingles en or : véritables épingles à cheveux, les 
				épingles en or sont parfois surmontées de trois petits cercles - 
				ou alors d'un croissant de lune serti de petites pierres. 
				Souvent portées par paire, reliées entre elles par une 
				chainette, on les mettait à l'arrière de la tête sous la coiffe 
				calendée, accompagnant la tenue de cérémonie. 
				- les barrettes en or : toujours portées par paire de part et 
				d'autre de la tête sur les deux nattes supportant la tête 
				calendée, elles étaient particulièrement de forme ovale et 
				filigrane. 
				- l'épingle tremblante : très rare dans les cassettes de bijoux, 
				celle-ci se mettait sur la tête calendée à l'avant de la tête. 
				Composée de trois fils d'or torsadés, faisant ressort et se 
				rejoignant à la base par un grain d'or auquel était soudée une 
				pointe, l'épingle tremblante portée par les das, comportait à 
				son extrémité tantôt un brin de cheveux tantôt une dent de lait 
				de l'enfant cajolé. 
				
				
				
				  
				Les hommes non plus ne sont pas oubliés bien que peu nombreux, 
				les bijoux pour homme comptent quelques pièces qui peuvent selon 
				la fortune, être plus ou moins extraordinaires, notamment la 
				chaîne de montre, l'épingle à cravate sertie ou non d'une pierre 
				ou d'une perle, les boutons de col et de manchettes. 
				Nous devons aussi signaler pour les bébés, les boutons en or 
				liés entre eux par un fil rouge ou blanc, que l'on enfilait au 
				dos des brassières. 
				
				
				
				Lyne-Rose Beuze et George Louis-Régis Psyché  | 
			 
		 
		  
		
		 
		 contact kamaniok 
		   Tél 06 46 02 15 35
 		
		
   
  | 
| 
 
   | 
 
   | 
 
   | 
 
 
  | 
 
 | 
 
 
   | 
|  
 | 
 
 | 
 
 
   
 |